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Notre oncle m’a quitté pour aller à Melun. Je n’ai plus, en fait d’anges consolateurs, que la vieille Renote et le petit oiseau.
À toi,
Alf. M.
7 juillet 1846.
Notre oncle m’a quitté pour aller à Melun. Je n’ai plus, en fait d’anges consolateurs, que la vieille Renote et le petit oiseau.
À toi,