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l’aimer un jour, quand vous vivrez comme nous dans les métairies, et quand vous aurez des pauvres à vous. Et gardez-vous de sourire, quand vous parlez d’elle ! vous bénirez et vous suivrez ses pas.

Valentin.

Tendre enfant ! je devine ton cœur, etc.


12. page 405.
Valentin.

Mon oncle, il ne faut défier personne.

Van Buck.

Mon neveu, il ne faut jurer de rien.

FIN DES ADDITIONS ET VARIANTES.

Le 22 juin 1848, au milieu des préparatifs de la guerre civile qui devait éclater le lendemain, on représentait pour la première fois : Il ne faut jurer de rien, au Théâtre-Français, devant le public qui avait applaudi le Caprice. Une jeune et charmante actrice, Mademoiselle Amédine Luther, y débutait dans le rôle de Cécile. Malgré les tristes préoccupations des spectateurs et les déplorables circonstances où l’on se trouvait, la pièce fit un plaisir extrême. Mademoiselle Mante s’y montra comédienne incomparable dans le rôle de la baronne. On a repris plusieurs fois cette comédie, toujours avec un grand succès, et récemment encore pour les débuts de madame Victoria Lafontaine.

FIN DU TOME IV.