Page:Musset - Œuvres complètes d’Alfred de Musset. Comédies III.djvu/379

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rons que vous n’êtes pas plus habile à repartir un mot de courtoisie…

Ser Vespasiano.

Eh bien ?

Deuxième demoiselle.

Qu’à parer une lance courtoise.

Ser Vespasiano, à part.

Petites perruches mal apprises !

La Reine.

Minuccio est si préoccupé qu’il n’entend pas ce qu’on dit près de lui.

Minuccio.

Il est vrai, madame, et j’en demande très humblement pardon à Votre Majesté. Je ne saurais penser depuis hier qu’à cette pauvre fille,… je veux dire à ce pauvre garçon,… non, je me trompe, c’est une romance que je tâche de me rappeler.

La Reine.

Une romance ? Tu nous la diras tout à l’heure. Mes bonnes amies veulent des jeux-partis. Fais-leur quelques demandes pour les divertir. — Ser Vespasiano.

Ser Vespasiano.

Majesté.

La Reine.

Savez-vous trouver de bonnes réponses ?