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Page:Musset - Œuvres complètes d’Alfred de Musset. Confession d’un enfant du siècle.djvu/219

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rant sans raison ; qui a posé ses mains sur son visage pour y respirer un reste de parfum ; qui a oublié tout à coup ce qu’il avait fait sur terre jusqu’alors ; qui a parlé aux arbres de la route et aux oiseaux qu’il voyait passer ; qui enfin, au milieu des hommes, s’est montré un joyeux insensé, puis qui est tombé à genoux et qui en a remercié Dieu ; celui-là mourra sans se plaindre : il a eu la femme qu’il aimait.

FIN DE LA TROISIÈME PARTIE.