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ta prière ? — Quand je croirai. Pourquoi m’a-t-on menti ? — Pourquoi mens-tu, lâche, à ce moment même ? Que ne meurs-tu, si tu ne peux souffrir ?
Ainsi parlaient et gémissaient en moi deux voix terribles et contraires, et une troisième criait encore : — Hélas ! hélas ! mon innocence ! hélas ! hélas ! les jours d’autrefois !