P. de la Grange. — Réfutation d’un écrit favorisant la comédie. (Réponse à Boursault).
Leval. — Réponse à la lettre d’un théologien défenseur de la comédie. (Réponse à Boursault).
Laurent Pégurier. — Réfutation des sentiments relâchés d’un nouveau théologien touchant la comédie. (Réponse à Boursault).
1697. Perrault. — Hommes illustres.
1698. Monier. — Histoire des arts qui ont rapport au dessin.
1699. Dupuy du Grez. — Traité sur la peinture pour en apprendre la théorie et se perfectionner dans la pratique.
Roger de Piles. — Abrégé de la vie des peintres.
» — L’idée du peintre parfait.
1707. Félirien. — L’idée du peintre parfait, pour servir de règle aux jugements que l’on doit porter sur les ouvrages des peintres. Londres.
La Motte. — Discours sur la poésie en général et sur l’ode en particulier.
1708. Roger de Piles. — Conversations sur la connaissance de la peinture.
» — Cours de peinture.
1713. Fénelon. — Lettre sur les occupations de l’Académie Française.
1715. Jacques Bonnet. — Histoire de la musique et de ses effets depuis son origine jusqu’à présent. Paris. (En collaboration avec P. Bonnet et Bourdelot).
J. P. de Crousaz. — Traité du Reau, où l’on montre en quoi consiste ce que l’on nomme ainsi, par des exemples, etc. Amsterdam.
{{Mme Dacier. — Des causes de la corruption du goût. Amsterdam.
La Motte. — Réflexions sur la critique. Paris.
1716. Fénelon. — Lettre à l’Académie.
1719. L’abbé J. B. Dubos. — Réflexions critiques sur la poésie et la peinture. Paris. (2 vol. Les autres éditions ont 3 vol.)
À consulter : Marcel Braunschvig. — L’abbé Dubos rénovateur de la critique au XVIIIe siècle. Toulouse 1904.
Auguste Morel. — Etude sur l’abbé Dubos. (Mémoire couronné par l’Athénée de Beauvaisis). Paris 1850.
1721. Antoine Coypel. — Discours prononcez dans les conférences de l’Académie royale de peinture et de sculpture.
1723. Jacques Bonnet. — Histoire générale de la danse sacrée et profane… et le parallèle de la peinture et de la poésie. Paris.
1726. Bel (conseiller au parlement de Bordeaux). — Dissertation où l’on examine le système de M. l’abbé Dubos touchant la préférence que l’on doit donner au goût sur la discussion, pour