Cette page n’a pas encore été corrigée
iLÉGIES 97f
Nos chairs se sont enchaînées Pour fondre un amour commun^ Nos lèvres entrebaisées Respirent un seul parfum^
Mais quand règlent le silence Nos souffles à F unisson^ Nous peuplons la terre immense Du cri des désunions !
�� ��Je ne sais ce que fera n avenir de ton visage Ni quelle sera F image Qui mes songes poursuivra :
Sera-ce ta claire épaule Qui vaut le jour le plus heau^ Tes cheveux semblant les saules Qu'automne mire en ses eaux ?
Est-ce ta tête inclinée Ou F orgueil droit de ton front Qu'un soir me ramèneront Les regrets^ fils des années ?
�� �