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Fers r avenir si trop vite Il baty ton précieux cœur^ Et le mien qu'il précipite^ "De tard mourir ont-ils peur ?
Même F instant solitaire Que dans F ombre nous vivons^ U étreinte que nous avons Liée à la vaste terre^
Et la nuit qui nous entend^ Plus que nous sont périssables ; Ecoute donc comme un sable Notre amour muet coulant.
�� ��Sur un mode qui ne se lamente
D^ excès de peine ni de gattéy
Changeant comme vos larmes changeantes^
Et par de rares lyres tenté^
Je veuXy Aminte^ ô tendresse absente^
Sur moi vos tristesses irriter.
Que nêtes-vous pour V heure propice
Sur la terrasse cherchant nos pas
Et déplorant comme s alanguissent
D'être libres de mes bras^ vos bras !
Pliante sous le poids du ciel chaud
Comme sous les yeux qui vous désirent^
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