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Page:NRF 12.djvu/213

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POEMES 207

��l'angoisse

��A vingt ans ! Et tu nas que vingt ans,,. Tu t'épanouis dans le plus éphémère printemps !,,,

Sais-tu quen ce grave moment^

Amour j je sens que le printemps lui-même

A sa jeunesse et son printemps ! Sur ta bouche que j'aime

Goûterai-je

Le printemps du printemps !

Avrils Avril! Pour toi^ P heure est fragile,,,

— Ce visage limpide aussi nu que ton corps !

J'ai peur de ta beauté qui vient d'éclore^

Avrils et qui palpite encore,,.

Rien n est plus beau que ton corps !

�� �