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522 LA NOUVELLE REVUE FRANÇAISE

que D' Evans voulait marier à Loulou en leur léguant ses millions. — Là-bas est le couronnement — Et je n'y suis pas — Je serais le seul à y faire de la psycho. — Complainte du soir d'hyménée (envo3'é mon mono- logue des journées à Coquelin cadet ! !). — Rein des chansons des Rues et des bois — Vraiment un Etre unique.

Samedi 26. — Complainte des aveugles — Eté avec les 2 Scho — boire là haut du kuhmiich — Mes che- veux en brosse — l'œil rouge de l'Imp. Lettre de Bourget — demain le coitnmnenient ! Que va-t-il arriver ? Qu'est-ce qui est écrit ? ? ? ?

Dimanche 2j. — Autour de la chapelle grecque où eiTait un pope crasseux dans les belles fleurs en fleur — Grande scène avec R... Elle était née pour être mère — Le soir lettre. — Lecture — bagages — Adieux à Max. du Camp (Evans, Michiels.

Lnndi 2S. — A 5 h. promenade vers Lichtenthal — Les paysans descendant vers la ville — Les puissants effluves de café des hôtels — rentré — puis à la Trink- halle — puis rentré, pourboires — puis rentré — puis promenade — rentré — puis à la gare — puis vouloir rentrer pour Adieu à la p"^ Cécile — pas pu — et au galop à la gare — Voyage — poussière — spleen — de 8 à II h. du soir. Quelle journée — pris le thé avec elles dans le salon bleu — Là-bas à Moscou rien — Mort de Rivière etc. — Le soir seul dans le coupé chan- tant des airs au crépuscule — Potsdamer bahnhof — puis en voiture avec R. et la Schwester Plàcida (qui m'aime?). R se pressait contre moi — Et Placida jetait des regards me semble-t-ii.

Mardi 2<). — Théo — la pipe — piano (pastorale de

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