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280 LA NOUVELLE I^EVUE FRANÇAISE

��ROME

��Quatre U:(ards boivent le vif Rayon qui tarde au Colysée ; Heure où Von fer me les musées. Le couchant allonge les ifs.

Les chats coiupisscnl la Trajane, La garde monte au Vatican ; Destins encor, toge ou soutane ? Mais César a fichu son camp.

Le Tibre mord de vieilles pierres, fupiter rend les clefs à Pierre, Un roi s'enferme au Quirinal.

Et sous le cintre d'une arcade, — On danse ferme à l'Ambassade Descend un vieux char triomphal.

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