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PETITE FUGUE D'ÉTÉ
��Les fleurs de votre papier peint Il faudra bien qu'on les jalouse : Vous leur sourie^ le matin, Est-il plus heureuse pelouse ?
��Un jardin faux a la primeur Des beautés dont ce temps m'exile Et le véritable, où je meurs, N'a plus de ga^on qu'inutile.
��Alors que tout a déserté L'azur de mon âpre folie, Heureux pays, heureux été Que vos grâces réconcilient !
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