O larmes ! ô cœur trop faible ! ô mine des larmes qui saute !
Venez, fidèles, et adorons cet enfant nouveauné.
Ne me croyez pas votre ennemi 1 Je ne comprends point, et je ne vois point, et je ne sais point où vous êtes. Mais je tourne vers vous ce visage couvert de pleurs.
Qui n’aimerait celui qui nous aime ? Mon esprit a exulté dans mon Sauveur. Venez, fidèles et adorons ce petit qui nous est né.
— Et maintenant je ne suis plus un nouveauvenu, mais un homme dans le milieu de sa vie, sachant,
Qui s’arrête et qui se tient debout en grande force et patience et qui regarde de tous côtés.
Et de cet esprit et bruit que vous avez mis en moi,
Voici que j’ai fait beaucoup de paroles et d’histoires inventées, et personnes ensemble dans mon cœur avec leurs voix différentes.
Et maintenant, suspendu le long débat,
Voici que je m’entends vers vous tout seul un autre qui commence
A chanter avec la voix plurielle comme le violon que l’archet prend sur la double corde.
Puisque je n’ai rien pour séjour ici que ce pan de sable et la vue jamais interrompue sur les sept sphères de cristal superposées.