l'otage 251
(Il se retourne lentement vers la fenêtre où paraissent quelques rougeurs)
Quelles sont ces fumées ?
TURELURE. — Ce n'est rîen. Quelques mauvais quartiers de Paris qui brûlent, bon net- toyage !
Quelques mauvaises têtes que Monsieur de Raguse achève de mettre à la raison.
Et le tison de la Révolution s'éteint en puant et en fumant.
LE ROI, avec mépris. — Ces extravagances ont pris fin. (// s'assied lourdement)
Et le Roi avec la France recommence suivant l'ordre légitime.
(// est assis derrière la table entre les deux flambeaux. A sa gauche^ Tu- relure ; a sa droite^ Monsieur^ le Dauphin^ le Grand Chancelier; par derrière^ les souverains. Devant^ massés dans les fenêtre s ^ les Maré- chaux. A droite et a gauche^ les: Evêques et les Corps de l'Etat débordent des deux portes ouvertes. Le Roi promène lentement ses gros yeux sur rassemblée^ puis s' adressant à Turelure ;)
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