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À Jacques CRÉPET


Poursuivant l’œuvre paternelle, vous témoignez vaillamment que votre génération ne garde pas fidélité moins pieuse à la grande mémoire du poète dont je fus l’ami.

Et votre zèle est même venu relancer le tardif hommage de ces pages dès longtemps jaunies que tout à l’heure, sans l’encouragement de votre coopération offerte, mes quatre-vingt-huit ans laissaient derrière eux, feuilles mortes…

Acceptez-en la dédicace qui vous est due.


NADAR