ture et une place tout contre sa proie dévolue, qu’il achève…
Tout cocasse autour de lui, naturellement, — et les souvenirs de me pleuvoir…
Il demeurait rue Cassette avec sa très vieille maman, Grenobloise ou Lyonnaise, en la compagnie de laquelle j’attendais parfois la rentrée de mon ami. Parfois aussi survenait quelque visiteuse, non moins départementale et compassée.
Et, comme la maman Songeon était veuve à jamais inconsolée d’un général du premier Empire qui avait, en je ne sais plus quel 1814, défendu Saint-Sébastien contre l’Anglais, immédiatement comme à robinet, le discours évoquait le général en ses gloires et vertus ; d’où je me disposais, attendez :
— Ah ! Madame, si vous aviez connu le Général ? Quelle vaillance, quelle générosité, quelle bonté, quelle délicatesse ! et…
Se tournant vers moi :