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Page:Nadar - Charles Baudelaire intime, 1911.djvu/78

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Mais avec ce Clergeon nous n’en finirions pas, et puisqu’il n’est que temps de le quitter et que j’ai demandé permis de fourrager quelque peu à tort et travers par à l’entour, m’est-il bien possible de ne pas revivre un instant nos vieux souvenirs, évoquant au passage les satellitaires et même nébuleuses qui gravitèrent dans l’irradiation de l’astre Baudelaire, se targuant de postes plus ou moins congrus.

Flânons donc encore un peu dans la galerie des portraits.

La première place due et hiérarchiquement maintenue à notre exquis Banville à jamais fidèle, toujours et encore du sommet de son Olympe « présentant arme » à son supérieur, il va nous être bon de tendre une dernière fois la main à plus d’un que nous ne serons pas seul à nous rappeler : — ces deux braves ruraux, d’abord, d’inséparabilité touchante