Page:Nature, Addresses and Lectures.djvu/23

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sol, son atelier, son terrain de jeu, son jardin et son lit.

"Plus de serviteurs attendent l'homme
Qu'il s'en apercevra." -

La nature, dans son ministère envers l'homme, n'est pas seulement la matière, mais aussi le processus et le résultat. Toutes les parties travaillent sans cesse dans les mains de l'autre au profit de l'homme. Le vent sème la graine; le soleil évapore la mer; le vent souffle la vapeur au champ; la glace, de l'autre côté de la planète, condense la pluie sur cela; la pluie nourrit la plante; la plante nourrit l'animal; et ainsi les circulations interminables de la charité divine nourrissent l'homme.

Les arts utiles ne sont que des reproductions ou de nouvelles combinaisons par l'esprit de l'homme, des mêmes bienfaiteurs naturels. Il n'attend plus les coups de vent, mais au moyen de la vapeur, il réalise la fable du sac d'Æolus et porte les deux et trente vents dans la chaudière de son bateau. Pour diminuer les frictions, il ouvre la route avec des barres de fer, et, montant une voiture avec un chargement d'hommes, d'animaux et de marchandises derrière lui, il se précipite à travers la campagne, de ville en ville, comme un aigle ou une hirondelle. l'air. Par l'ensemble de ces aides, comment la face du monde est-elle changée, depuis l'époque de Noé jusqu'à celle de Napoléon! Le pauvre homme privé a des villes, des bateaux, des canaux, des ponts, construits pour lui. Il va