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Page:Nau - Hiers bleus, 1904.djvu/101

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ANDALUCIA

Pour FwtM MeMtttf.

< On dit que tes âmes ne meurent pas

Ay Pepa Je sens que la mienne se consume
Au feu dévorant de tes yeux, Pepa 1

Tes yeux, la fête sacrilège qui s’allume

Dans l’Enfer dont pâtissent les brasiers

Car je tremble que me navre moins la brûlure
Et que se meure, après m’avoiT extasié.

Mon effroyable et délicieuse torture. »

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< Angela, je pourrais être oublieux

De l’ange qui m’arracherait a ma misère

Et m’ouvrirait le seuil d’or bleu

Des adorables Songes Vrais dans la Lumière
Mais pour l’Eternité, -.pile ange dédaigneux,