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Page:Nau - Hiers bleus, 1904.djvu/170

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Des astres qui n’écrivent au ciel qu’un seul nom
Qui vous torture jusqu’aux moëlles,

Tandis qu’un sylphe ailé d’améthyste et d’argent,
Jailli des rameaux noirs, souffle railleusement
Des bulles de nectar de fleurs au clair d’étoiles.



FIN