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Page:Naudé - Advis pour dresser une bibliotheque, 1627.djvu/155

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Siripand à Naples ; du duc Federic à Urbain ; de Nunnesius à Barcelonne ; de Ximenes à Complute ; de Renzovius à Bradeberk ; des Foulcres à Ausbourg ; et finalement du roy, S Victor, et de M De T à Paris, qui sont toutes belles et admirables, n’estans si communes, ouvertes à un chacun, et de facile entrée, comme sont les trois precedentes. Car pour ne parler que de l’ambroisienne de Milan, et monstrer par mesme moyen comme elle surpasse tant en grandeur et magnificence que en obligeant le public beaucoup de celles d’entre les romains, n’est-ce pas une chose du tout extraordinaire qu’un chacun y puisse entrer à toute heure presque que bon luy semble,