Page:Naudé - Apologie pour tous les grands personnages qui ont esté faussement soupçonnez de magie - 16125.djvu/48

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Vana nos concitaverintjerfeycyamus, ne Yideamur cœpijsejîne causd, ou plus véritablement qu'ils suivissent la route commune de ceux quiíè meflent d'eíci ire,qui est de prouver <$c venir à bout par quelque moyen que ce íbit de ce qu'ils ont entrepris, tirant 11 les raisons par force & les preuves par les cheveux, & prenans les ouydires pour verite2 certaines, &"tous les vaux-de-villes pour démonstrations. ... Et sic obseryaùû crejcit Ex ataVisquondam maiè cœpta, deinde seftutis Tradita temporibus, ferifque nepot'h kisaucìa. Qui est une façon d'escrire du tout inepte & particulière aux esprits moutoniques du Philosophe Huartoy qui comme les brebis de Cingar abandonnent volontairement la barque delaVerité,pour se précipiter ter les uris âpres