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Page:Nerciat - Le Diable au corps, 1803.djvu/74

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LE DIABLE AU CORPS.

trouve à portée de l’endroit voisin : je commence à comprendre.

BRICON.

Vous observez bien, Madame, que le vit inférieur… vous permettez ?

LA MARQUISE.

Il faut bien rendre les choses sensibles.

BRICON.

Vous observez, dis-je, qu’il est plus long, plus effilé ?

LA MARQUISE.

J’allais justement vous demander pourquoi.

BRICON.

Plus long, parce que devant être mis le premier (car l’accès de sa voie rentrante est un peu difficile), il faut bien qu’il ait quelque avantage.

LA MARQUISE.

Tout est prévu. Je conçois maintenant qu’il est aussi plus effilé, plus pointu, pour ne pas blesser.

BRICON.

Il y a plaisir à montrer les choses à gens qui s’y connaissent ;

(mine.)


je veux dire qui ont de la sagacité.