tuelle ! Je n’ai pas achevé que déja la charmante
Nimmernein s’est roulée sur le ventre, les jambes
pendantes, le rable horizontal et les fesses
en valeur. Nouveau prodige de perfection ! Je
me sens renaître mille fois plus épris. Je baise
et presse les superbes cheveux, je rends hommage
à la chûte de reins… miraculeuse ! Un cul
d’albâtre, enfin, comment ne pas le dévorer !
Je le traite comme les plus belles joues, comme
la plus jolie bouche… Faut-il tout vous dire ?
Entraîné par un charme irrésistible, j’attaque,
sans dire gare, ce cul divin et le viole sans
obstacle. — Sodan ! (se contente-t-on de me
dire d’une voix douce comme un flageolet)
macht hurtig, mein hertz ; es tadz mir veh !
Ce qui signifiait ?
Oui-dà ! fais vîte, mon cœur ; cela me fait mal.
Voilà qui est à merveilles. Mais si nous nous jettons comme cela dans les égarées, jamais la lecture ne finira.
J’ai tort. —
9e. couple. M. le Bailly
de Foutsept ; Madame la Comtesse d’Ogreval.