porté à certains excès), soit que dans le
nombre de ses fidèles associés il y en eût
plusieurs d’assez puissants pour rendre
vaine la rigueur des lois qui aurait pu les
disperser et les punir, jamais avant la
Révolution leur société n’avait souffert
d’échec de quelque conséquence ; mais ce
récent événement a frappé plus des trois
quarts des frères et sœurs ; les plus solides
colonnes de l’ordre ont été brisées ; le local
même, qui était dans Paris, a été abandonné.
Des débris de l’ancienne institution s’est formée celle dont ces feuilles donneront une idée. On y verra se développer progressivement le lubrique système et les capricieuses habitudes des Aphrodites, gens fort répréhensibles peut-être, mais qui du moins ne sont pas dangereux, et qui, fort contents de leur Constitution, ne songent nullement à constituer l’univers.
Ci-devant il n’y avait pas eu d’exemple qu’un seul statut, un seul usage des Aphrodites eût été divulgué ; mais ce n’est pas quand un nouvel ordre de choses existe, quand mille petites récréations (criminelles