moelleusement des hanches, que c’était un
grand plaisir de les voir. Quant à Durengin,
qui échéait à la belle Vaquifout, déjà
complétement maître de ses charmes et
s’agitant à mesure qu’on paraissait moins
s’occuper de lui, son inquiétude était que
peut-être la dame, dont les superbes yeux
étaient fermés, ne sût pas de qui elle faisait le
bonheur ; mais il fut bientôt rassuré quand,
avec un sourire et un son de voix également
obligeants, on lui dit : “ Il ne m’en faut pas
tant, mon cher Durengin ! moins fort, tu
me feras encore plus de plaisir. „ Alors il
ralentit, et telle est cette superlativement
électrique baronne que ce couple eut des
premiers fourni la seconde carrière. Il était
au surplus impossible d’observer que personne
y fût en retard. On procédait à la
seconde purification générale quand la pendule
frappa le quart de la première heure.
Le lecteur voit déjà que chacune de ces dames continuera de se conduire avec chaque nouveau jouteur selon son propre naturel et le degré de goût que l’individu pourra lui faire prendre à la chose. À la troisième accolade, Durengin fut parfaite-