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OÙ PEUT-ON ÊTRE MIEUX ?




QUATRIÈME FRAGMENT.




La scène est d’abord dans le bosquet anglais.

Heureusement pour Tireneuf, la vieille[1] comtesse de La Bistoquière (qui l’avait aperçu dans les loges, et depuis le cher-

  1. Chez les Aphrodites on nomme vieille toute femme qui passe quarante ans ; mais ces dames ont droit d’assister jusqu’à ce qu’elles ne marquent plus. Alors, à moins d’un relief, elles perdent leurs entrées, excepté le jeudi, pour le service de ces messieurs dont il est fait mention dans une note du numéro deux, page 86, et le samedi, pour des raisons que l’occasion naîtra de déduire ailleurs. Madame de la Bistoquière : brune, grisonnante, a de beaux et grands restes, assez bien conservés, à l’entretien desquels elle n’épargne ni ses soins ni sa bourse. Elle a pour réparation cinq ou six affidés-maçons, de la force de Tireneuf.