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LES APHRODITES


legs que le malheureux comte de Scheimpfreich lui avait destiné ; cette dame, disons-nous, et le prince, s’étaient passionnément occupés de préparer à ceux des Aphrodites qui étaient dignes de survivre à la fraternité de Paris, un asile en pays étranger et les moyens de placer avec avantage ce que l’ordre conserverait encore de richesses, après que tous les confrères (soit volontairement dégagés, soit congédiés) seraient remboursés. Les comptes scrupuleusement apurés par des frères financiers d’une probité à toute épreuve, l’ordre survivant se trouva riche encore de 4,558,923 livres que des frères banquiers trouvèrent moyen de faire sortir adroitement du royaume. L’industrieux M. du Bossage s’était chargé, de plus loin, de dénaturer en fait de constructions tout ce qui caractériserait l’ordre et