Aller au contenu

Page:Nerciat - Monrose, 1871.djvu/115

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
93
MONROSE


sements, les bravos, qui commençaient dès lors à se multiplier jusqu’à l’abus, m’impatientent, m’excèdent. On ne vient point ! Je commence à soupçonner Saint-Lubin de s’être moqué de moi… Retour fortuné ! J’entends dans la serrure le bruit d’une clef… Des voix angéliques demandent à l’ouvreuse s’il y a déjà quelqu’un dans la loge… De quelle douce et vive émotion mon cœur n’est-il pas agité ! »