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MONROSE


des plus fameux escrocs de Paris, renforcés d’une petite gueuse… Vous m’écoutez maintenant ! — J’avoue que tu viens de prononcer des noms faits pour m’alarmer, et que tu as en même temps presque touché la corde de la lettre… — Je vous étonnerai bien davantage tout à l’heure… Mais couchez-vous d’abord. » Ma curiosité n’avait plus de bornes. »

Lebrun, quand son maître est au lit, prend une chaise et se place au chevet. Mais trouvez bon, cher lecteur, que ce qu’il dira soit le sujet d’un nouveau chapitre.


    chap. III de la seconde partie de Félicia. Quant à Béatin, il faut revoir à son occasion la scène du principal et du régent, même chapitre, et la scène du Béatin chez madame de Kerlandec, chap. XXV de la quatrième partie.