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MONROSE


moi (ce qui d’abord lui parut devoir aboutir à tout autre chose qu’à l’enquête méditée), il y eut entre nous une longue et bien instructive conversation[1] qu’on voudra bien me permettre de renvoyer aux chapitres suivants.


  1. On voit ici que Félicia, de peur d’effrayer ses lecteurs, n’ose pas dire tout uniment que la confession de Monrose remplira tout un volume. Plus franc, je préviens ici que tout à l’heure, c’est Monrose qui va parler, et que Félicia ne fera plus qu’écrire sous sa dictée. (Note de l’éditeur.)