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Page:Nerciat - Monrose, 1871.djvu/650

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MONROSE


niches : elle savait apparemment où rejoindre son narcotique baronnet. Moi, qui n’avais plus rien à faire par là, je suis venu… — Oh ! nous nous sommes très-bien aperçues que vous êtes venu ! dit madame d’Aiglemont, en balbutiant de sommeil… Bonsoir, comtesse. — Bonsoir, marquise. — Bonsoir, mes amies… Bonne nuit, mes petits amis. — Eh bien, mon neveu ! Ôtez donc ces mains ! — Adieu ! »