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MONROSE

Ils mirent pied à terre chez moi. Par bonheur, on put assurer de bonne foi notre ami qu’il n’y avait plus rien à craindre pour les jours de la marquise ; mais il l’aimait trop pour que l’idée du danger qu’elle avait couru et des suites que pouvait avoir une aussi cruelle petite-vérole ne l’affectât pas à l’excès. Il fut pendant quelques instants totalement privé de connaissance.