Page:Nerval - Élégies nationales et Satires politiques, 1827.djvu/57

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Six cents Français et moi, — l’équilibre est gardé !
Mais toi, pour qui, dis-tu, l’avenir se révèle ;
Toi, dont la prophétie est pour moi si cruelle,
Quel est ton nom ? Viens-tu des cieux, ou des enfers ?

LA VOIX.

Tu le sauras un jour ; vas où le sort t’appelle :
Je t’attends au-delà des mers !