Page:Nerval - Aurélia, Lachenal & Ritter, 1985.djvu/120

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toi, et c’est pourquoi il m’est permis à moi-même de venir et de t’encourager. » La joie que ce rêve répandit dans mon esprit me procura un réveil délicieux. Le jour commençait à poindre. Je voulus avoir un signe matériel de l’apparition qui m’avait consolé, et j’écrivis sur le mur ces mots : « Tu m’as visité cette nuit. »