Page:Nerval - Aurélia, Lachenal & Ritter, 1985.djvu/77

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même, je l’ai menacé, je l’ai maudit ! C’était bien lui, ce frère mystique, qui s’éloignait de plus en plus de mon âme et qui m’avertissait en vain ! Cet époux préféré, ce roi de gloire, c’est lui qui me juge et me condamne, et qui emporte à jamais dans son ciel celle qu’il m’eût donnée et dont je suis indigne désormais !