Page:Nerval - Choix des poésies de Ronsard, 1830.djvu/181

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Hé I qui de telle fpyvopdrpit aypjrspi|cy 1
Si par fer et par feu» par pjpmb» parppugre npire
Les spnges de Calvin nous voulez faire crdfye ?
Si vous eussiez esté simples comme devant,
Sans.aller les faveurs des princes poursuivant :
Si vous n’eussiez païlé que d’amender l’Église, l ’ ’
Que d’oster les abus de l’avare prestrise,
Je vous eusse suivi, et n’eusse pas esté
Le moindre des suivans qui ton ont escouté.
Mais voyant vos couteaux, vos soldats» vos gendarmes,
Voyant qpe vous plantez vostre foy parles armes»
$t qijpvpiïs n’avez plufceste sjmpjtciié,
Que vopspor.tie.ai au fro^en toute humilité »
J’ai pensé que Satan, qui les hommes attise
D’ambition, cstoùohef de vostre entreprise.
L’pôp^iiinèe de mieux, le désir de vous vpir
En dignité plusïaute et plus riche en pouvoir,
Vo^K^i^Mvypôdteôrds» vos ^dprelles privées,,
Sont çÛUÔO que vos malns sont do sang abreu vécs,
Non la religionf qui sans plus ne vous sert
Que d’un inasqùe emprunté qu’on void au descouvert.
Et vous nobles aussi qui n’avez repopeée
A la foy qui vous dst par l’Église anpopcéc,