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Waterloo.
Pleure, Napoléon, ton pouvoir expirant,
Sous d’indignes revers ta gloire est étouffée ;
Qu’en est-il revenu, de ton pompeux trophée ? —
Le char brisé du conquérant ![1]
L’étranger va fouler ta dépouille mortelle,
Tes amis d’autrefois viennent de te trahir ;
Tu tombes : et déjà sur leurs lèvres cruelles,
Un sourire de sang vient de s’épanouir.
C’est en vain qu’au Destin tu résistes encore,
Ta grandeur a passé comme un vain météore,
Comme un son qui dans l’air a long-temps éclaté : —
Peut-être que ce bruit d’une puissance humaine
A frappé les échos de la rive lointaine…
Mais les vents ont tout emporté !
- ↑ Off all the trophies gather’d from the war
What shall return ? The conqueror’s broken car !Childe Harold, canto iii..