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CHAPITRE XVII
EXAMEN ET SUITE DE DIVERS MARIAGES.
Quelques fantaisistes osent avancer : « Que l’amour ne se prouve pas par les grandes choses, mais par les petites. » L’amour, croyons-nous, se prouve par tous les actes de la vie ; mais plus un cœur est élevé, plus son dévouement doit être puissant. Les hommes, en général, manquent de ces délicatesses de détails dont les femmes ont seules le secret. Exiger d’eux ce qu’ils ne sentent pas, c’est compromettre son propre bonheur pour de futiles avantages.
Si les hommes sont gâtés, la faute en est aux femmes. Une bonne et douce influence peut réagir sur le plus revêche. Nous ne dirons pas, avec madame Dash, qui se trompe : « Les défauts, la sécheresse, l’acidité,