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son piquet, vous n’allez donc pas jouer ce soir dans le jardin avec votre cousine ; il fait pourtant bien beau.
— J’irai la rejoindre dans un instant, dit Agénor, en se plaçant tout près de François, comme pour mieux voir son jeu. C’est que, vois-tu, rien ne m’amuse plus que de te voir jouer aux cartes. Il me semble qu’en te regardant j’apprendrai bientôt le piquet.
— Ah ! c’est un beau jeu, monsieur, mais il faut avoir les as, et ne pas écarter ses bonnes cartes.
Pendant que François était