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seils les plus affectueux de ce bon serviteur, qui l’avait vu naître et l’aimait tendrement.
— Vous êtes trop vif, trop volontaire, monsieur Agénor, lui disait-il du ton le plus doux ; vous jouez avec cette petite fille, qui a presque trois ans de moins que vous, comme vous joueriez avec un camarade de collége. Cela ne convient pas : elle n’est pas de force à courir, à monter aux arbres comme vous le faites. Et puis vous la taquinez toujours. On lui donne dernièrement des joujoux superbes : une cuisine complète, une poupée avec deux