Page:Nichault - Scenes du jeune age V1.pdf/219

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perdus par la maladresse d’un domestique !

— C’est trop fort, reprit François hors de lui ; et si monsieur s’entête à ne me pas croire, je sens que j’en deviendrai fou.

Et le pauvre François, dans son indignation de se voir accusé injustement, gâte sa cause par des réflexions impertinentes.

M. de Berville s’en irrite ; il veut convaincre François de mensonge. Celui-ci entre dans une colère qu’augmente celle de son maître, et le pauvre domestique est chassé.

Cependant la crainte d’être