Page:Nichault - Scenes du jeune age V1.pdf/37

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très bien su, depuis, que mon semestre voulait dire cinquante francs.

— Et tu ne pourrais pas avoir ton semestre une troisième fois pour me le prêter ?

— Il n’y a pas trois semestres dans l’année, ignorante.

— Comment appelles-tu ce Monsieur ?

— Monsieur Daru. C’est le directeur de la caisse de prévoyance.

— Eh bien ! si j’allais avec ma bonne lui demander un semestre, il m’en donnerait peut-être aussi.

— En voilà une fameuse ! dit