Oui, monsieur.
À ce beau sacrifice, et ne serai point cause
D’une privation dont tous nos courtisans
Me feraient à bon droit des reproches sanglans.
En agissant ainsi, ma chère, l’on commande.
Je le vois, vous allez céder à sa demande.
Lorsque de m’en prier tout le monde est d’accord.
Pourrais-je résister sans me donner un tort ?
Ah ! c’est trop de bonté.
Vous assure à jamais de ma reconnaissance.
Je n’aurais porté là qu’un esprit fort distrait,
Et j’y vais, grâce à vous, trouver un intérêt.
Si pourtant vous souffrez, il n’est pas raisonnable…
Je me sens beaucoup mieux.
Que vous êtes aimable !
Therme a tout dit.
Mais comme dans ces bals je ne suis bon à rien,
J’espère bien ici, messieurs, ne vous déplaise,
Avec l’un de vous trois souper tout à mon aise.
Matta sera charmé de rester avec vous.