Page:Nigond - Les Contes de la Limousine, Ollendorff.djvu/311

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LES CONTES DE LA LIMOUSINE J’suis, mon Gieu ! si peu difficile Que j peux viv’ suivant ma façon. J’ai cent dix moutons à garder Dont pas eun’ têt’ n’est en doumage ! J vis d'salé, d’iau, d’pain et d’fromage : Après ça, faut ren me d’mander. J'tins pas d’avoir grand’ connaissance Et. pourvu seul’ment qu’l'habitant M'argard’ point d’un œil trop r’butant. J'y en consarve d'la r’connaissance. ... Sitôt la nuit, j’seus endormi. —>2S4—