Page:Ninous - L Empoisonneuse.pdf/455

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

le berceau à Marianne, comme M. de Boutin le lui a montré :

— C’était ta fille aînée ! murmure-t-il tout bas.

Attendrie, elle refoule ses larmes et sourit en regardant ce doux nid de dentelles ou bientôt dormira l’ange qu’elle attend, le sang de ses veines, l’amour de son cœur, la récompense et l’oubli de son martyre, le fils de Jacques !



FIN