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Page:Nizan - L.–F. Céline Voyage au bout de la nuit, paru dans L’Humanité, 09 décembre 1932.djvu/7

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ira cet homme qui n’est dupe de rien. La langue littéraire de Céline est une transposition assez extraordinaire du langage populaire parlé : mais il devient artificiel vers la fin : c’est que le livre a deux cents pages de trop. Céline ne s’arrête pas au moment où il a tout dit.

P. NIZAN.