ments de l’enfant sont aujourd’hui la réjouissance du vieillard.
Rabâchages, radotages, ramollissement, à la bonne heure ! mais cela même est de la métamorphose et de la vie ! On se sent aller doucement à sa pente. Ce que fait sur ma cheminée la tige de balsamine, je le fais, moi aussi ; c’est la loi universelle.
J’ai raconté sommairement dans la Vie des Fleurs l’histoire de ce pois planté dans un pot que je transportais partout avec moi, même auprès de mon lit, pour ne rien perdre de ses comportements, non en vue d’observations spéciales, comme l’a fait depuis Darwin ; je ne voulais que me trouver partout des compagnons de vie.
Tant et tant à noter, tant et tant à faire de réflexions depuis quelques jours, que forcément on s’abstient.
En ce moment, scènes de mardi gras mêlées aux plus lugubres tragédies.
Déchaînement risible des évêques contre la République opportuniste qui tremble et voudrait se cacher à l’idée de se séparer de sa bonne amie l’Église.
Tant de couardise, tant d’ajournements à cette séparation qu’à la fin, messieurs, la voix des évènements vous demandera, vous imposera quelque