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Page:Noailles - L’honneur de souffrir, 1927.djvu/116

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117
L’HONNEUR DE SOUFFRIR

LXXIII


J’ai quelquefois rêvé, travaillé, sans vous voir.
L’espérance m’avait dans l’azur enfermée.
— Mais sentant à présent quel fut votre pouvoir
Sur mon être, sans vous sombre et faible fumée,
Vous fûtes avisés, cœurs jaloux, de m’avoir
Autant aimée !