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Page:Noailles - L’honneur de souffrir, 1927.djvu/125

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L’HONNEUR DE SOUFFRIR


Et je vois ce désastre, et j’accepte ce somme,
Je ne meurs pas d’horreur dans ce champ fixe et fou,
Moi, dont l’esprit toujours anxieux pour ces hommes,
Quand l’un d’eux s’endormait, s’écriait : Qu’avez-vous ?